je me souviens du premier jour où je l'ai vu je la trouvai gentille et assidue elle était vaillante et courageuse dans son travail je la voyait juste comme une stagiaire je n'avis pas senti qu'elle commencer à me plaire on s'est rapproché comme çà tout doucement sans rien cherché ça s'est fait naturellement puis un jour je me suis vu lui proposé un ciné qu'on a pas fais en plein soleil sur la terrasse d'un café ma déclaration je lui ai fait elle laissa un temps mort avant de me dire oui je trembler comme une feuille en automne encore plus que les gens atteint de parkinson elle m'a prit la main en disant on va se promener et sur des berges on c'est caler on parler de nous de notre histoire qui commençait on voulait savoir ce que l'autre recherchait je voulais d'une vrai histoire pas d'un flirt qui ne sert a rien aujourd'hui on est fiancé on a des rêve plein la tête mais la distance qui nous sépare empêche toute chose alors le manque d'elle ce fait sentir et par protection j'ai du m'endurcir j'ai oublier la tendresse, la douceur de ses caresse au fond il ne me reste que mes yeux pour pleurer des larmes sèches elle me manque tant que la gorge me serre au point que certains soir je serre les dents pour ne pas craquer je l'aime elle est tout pour moi et même quand nos tentions sont grandes je garde le courage et j'encaisse. car oui je le confesse, je l'aime ma gonzesse. FRANCOIS
