Coup de gueule !
Faut-il encore hurler en prose,
Pour qu’enfin changent les choses,
Car en dérogation, ça ne fait aucun doute,
C’est pour les golfs et les terrains de foot.
Alors que pour notre nourriture
Le paysan ne fait pas de fioriture,
Mais aujourd’hui, on lui impose
De faire à son salaire une pause.
La production du bien être de tous,
N’est pas un spectacle pour les fous
Faut-il arroser un champ de maïs,
Ou leurs plaisirs dans tout le Païs.
Nos élus ont-ils perdu la tête,
Et ne pensent qu’à eux pour la fête.
Soyons raisonnable, pour que demain,
Tout le monde puisse manger à sa faim.
Faut-il encore hurler en prose,
Pour qu’enfin changent les choses,
Car en dérogation, ça ne fait aucun doute,
C’est pour les golfs et les terrains de foot.
Alors que pour notre nourriture
Le paysan ne fait pas de fioriture,
Mais aujourd’hui, on lui impose
De faire à son salaire une pause.
La production du bien être de tous,
N’est pas un spectacle pour les fous
Faut-il arroser un champ de maïs,
Ou leurs plaisirs dans tout le Païs.
Nos élus ont-ils perdu la tête,
Et ne pensent qu’à eux pour la fête.
Soyons raisonnable, pour que demain,
Tout le monde puisse manger à sa faim.
